Un skateur rennais se réinvente après une blessure : naissance d’une marque de vêtements inspirée par la couture autodidacte

Publié le 21 juin 2025 – Mis à jour le 21/06/2025

Sur le bitume parfois râpeux de Rennes, une blessure peut arrêter net un skateur talentueux – mais rarement sa créativité. C’est dans cette fracture du corps que Thomas Cousin, 22 ans, a trouvé son nouveau flow : le terrain de jeu est devenu un atelier, sa planche un bout de tissu. De la __blessure__ est née une réinvention vibrante, portée par une passion pour le __streetwear__, la __mode__ et la __couture autodidacte__. Son label, Not too Ballsy, est aussi frais que les tricks qui claquent sur les spots rennais et symbolise un mix explosif entre art, ride et engagement contre la fast fashion.

• ⚡ Réinvention : transformer la galère d’une blessure en un projet qui déchire
• 🛹 Marque de vêtements : du DIY skate aux pièces workwear couture très prisées
• 🔥 Inspiration : l’art du vêtement custom, entre rigueur et créativité brute

Quand la passion skate rencontre la naissance d’une marque à Rennes

On connaît tous l’adrénaline des sessions au skatepark ou en street, cette énergie que rien ne freine. Thomas, comme beaucoup, a vécu ce ride intensément. Mais après une __blessure__ qui l’oblige à calmer les roulettes, il sort ses aiguilles au lieu des trucks. Sa mini-cuisine de 8 m² devient un atelier, ses boards se muent en pantalons pensés pour skater.

Chaque pièce naît d’une volonté : rester dans l’esprit skate, mais casser les codes. On parle de vêtements solides, qui respirent le vécu sur le béton, fabriqués dans une démarche éthique, loin des sentiers de la fast fashion.

• ✂️ Couture autodidacte : autodidaxie poussée à son paroxysme, avec des patrons faits maison
• 🎨 Créativité : mélanger l’esthétique skate et le travail manuel précieux
• 📍 Rennes : terre de skate et de débrouille pour ce jeune créateur

Transformer une blessure en tremplin pour la création

La __blessure__, ce n’est jamais simple. Pour un skateur, c’est souvent le moment le plus dur, là où les tricks semblent s’éloigner. Pourtant, Thomas a twistré la donne.

Alors qu’il apprenait à maîtriser les bases du pop, du frontside ou du fakie, la pause forcée est devenue un labo d’idées. En combinant son goût pour l’histoire de l’art et sa passion pour le ride, il s’est lancé dans la conception textile, néophyte mais ardent.

• 👖 Pantalons de skate robustes : pensés à partir de tissus haute couture recyclés
• 🏆 Collaboration : un boost notable avec l’influenceur bordelais Menswearplease
• 🌱 Éthique : anti-fast fashion, faits main et respect de l’environnement

L’univers streetwear revisité par un skateur rennais

Thomas impose un style qui fuse avec le paysage urbain, mais distille aussi une __inspiration__ pour tous ceux dont la passion du skate s’exprime d’une autre façon.

Le label Not too Ballsy parle aux riders, aux locaux, mais aussi à une communauté large qui bouge entre culture skate et esthétique streetwear, un pont parfait entre l’outdoor et la création de mode. L’allure workwear donne cette vibe brute mais raffinée, parfaite pour rider en ville sans sacrifier le look.

• 🧢 Accessibilité : un style simple mais avec une vraie valeur ajoutée
• 🔄 Réinvention : vêtements adaptés au ride comme à la rue
• 🛹 Culture skate : une histoire bien ancrée dans le tissu urbain rennais

Se projeter : l’avenir d’une marque née d’une passion

Avec des commandes qui s’enchaînent et un public grandissant, Thomas vise désormais Paris, un terrain propice pour étendre son réseau et toucher les riders, amateurs de mode et créateurs de tendances.

Cette aventure illustre aussi une tendance plus large chez les skateurs qui veulent prendre en main leur image, mêler sport et création, sortir des sentiers battus.

• 🚀 Expansion : du DIY rennais aux spots parisiens
• 🤝 Communauté : créer un pont entre ride et mode
• 🌍 Durabilité : garder toujours le combat contre la fast fashion

Techniques DIY pour skateurs créatifs : apprendre la couture à la dure

Il y a dans la démarche de Thomas quelque chose qui rappelle la débrouille du skate lui-même : apprendre sur le tas, tester, faire tomber, recommencer, mais surtout __push__ jusqu’au bout.

Le label est une invitation à tous ceux qui veulent explorer la création textile sans passer par les écoles, nourries par la culture urbaine et la ténacité des riders.

• 🧵 Apprentissage autodidacte : bouquins, tutoriels, conseils des pros
• 🔨 Fabrication à la main : du patron à l’assemblage final
• 🎯 Persévérance : comme sur le skate, la réussite demande du temps

Petite anecdote d’un rideur devenu créateur

Lors d’une session rennaise, Thomas me confiait, pizza et planches autour, que ses premiers pantalons avaient tout connu : chutes, grinds et même une embrouille avec la sécurité du skatepark. Parce que le vrai streetwear s’écrit aussi dans l’expérience brute sur le bitume.

FAQ sur skateur, marque de vêtements et réinvention

1. Comment une blessure peut-elle devenir source de créativité ?
   Elle ouvre parfois une parenthèse où le skate est mis en pause, favorisant un retour vers des passions annexes, ici la couture, qui débouchent sur de nouvelles vocations.
2. Pourquoi choisir la couture autodidacte dans le streetwear skate ?
   Cette approche libère des contraintes classiques, permet des pièces uniques, sur mesure, avec un engagement écologique fort.
3. Comment trouver des vêtements adaptés au skate qui durent ?
   Privilégier des marques comme Not too Ballsy ou d’autres labels qui mettent en avant la durabilité et la technicité des tissus, comme ceux décrits ici.
4. Quels sont les défis pour une marque de vêtements née du skate à Rennes ?
   Le budget local limité, la nécessité de se faire un réseau en d’autres grandes villes comme Paris qui concentre des clients potentiels.
5. Où découvrir le style streetwear inspiré skate ?
   Sur les réseaux sociaux, et notamment via des influenceurs mode comme Menswearplease, et des articles spécialisés comme celui-ci.